« Dans les victoires, tout le monde a l’impression d’être champion du monde, et quand ça ne va plus, c’est la fin du monde. Il y a sûrement un équilibre à trouver. Mais ça fait partie de l’ADN local, à Marseille tout prend des proportions surdimensionnées », a confié l’ancien responsable de la cellule de recrutement olympienne à France Football.
Publié hier à 15h38